Entrevue avec Corie Houldsworth, présidente désignée de l’ACRP

 

Les lectrices régulières et lecteurs réguliers du Bulletin de l’ACRP s’attendent à ce que le rédacteur en chef, Dave Niven interviewe les nouvelles présidentes et les nouveaux présidents de l’ACRP. Dans ce numéro, Dave poursuit sa série d’entrevues en discutant avec Corie Houldsworth, présidente désignée de l’ACRP.

 

Parlez-nous un peu de vous – votre vie professionnelle et votre vie familiale.

J’habite près de Calgary, en Alberta depuis 2001. J’ai grandi dans la région du Grand Vancouver et j’ai été technologue en médecine nucléaire avant de déménager à Calgary pour travailler à la Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN) en tant qu’inspectrice.  

Après la naissance de mon fils, j’ai travaillé à titre de consultante et gestionnaire des affaires règlementaires dans le secteur pétrolier et gazier avant de retourner à la CCSN en 2019. Mon fils a terminé le secondaire l’année dernière et entame maintenant ses études postsecondaires, ce qui est très excitant. 

Je suis présentement directrice intérimaire de la division du rendement humain et opérationnel (DRHO) de la CCSN. Auparavant, j’étais inspectrice au bureau de Calgary, puis la spécialiste principale de gestion des systèmes.

 

Quand avez-vous joint l’ACRP ?

J’ai joint l’ACRP en 2002 et j’ai été membre au comité organisateur local pour le congrès de Kananaskis. C’était une belle expérience et je m’implique de façon intermittente dans l’ACRP depuis 2018, moment où je suis devenu secrétaire du conseil d’administration.

 

Pourquoi avez-vous décidé de vous présenter à la présidence de l’ACRP ? 

Me présenter comme présidente de l’ACRP m’est apparu comme un prolongement naturel du travail que j’ai accompli comme secrétaire et j’ai pensé que ce serait une façon de servir encore davantage ma communauté. M’impliquer davantage auprès des membres du conseil, qui comptent parmi mes relations professionnelles préférées, était un autre point positif. La composition récente du conseil d’administration constitue l’un des groupes de bénévoles les plus solides et intéressants auxquels j’ai participé jusqu’à maintenant. Nous formons une très bonne équipe.

 

Sur quoi comptez-vous vous concentrer pendant votre présidence ? 

Une des choses que je veux faire depuis plusieurs années c’est de mettre en contact davantage d’utilisateurs de rayonnements industriels avec l’ACRP. Cela contribuerait à mettre en contact des utilisateurs industriels avec des experts en radioprotection pour améliorer leur expertise en radioprotection.

 

Avez-vous pu commencer à travailler sur certains de vos objectifs en tant que présidente désignée au cours de la dernière année ? 

La continuité et la cohérence sont mes objectifs et, puisque la majorité des membres du conseil d’administration restent en poste cette année, je suis bien placée pour les atteindre. Après le chaos des quatre dernières années, il est temps de s’installer dans une période plus normale dans laquelle nous nous concentrons sur la création de liens avec d’autres organisations professionnelles (p. ex. l’Association canadienne des scientifiques et des technologues du radon [ACSTR]) et poursuivre sur notre lancée que nous avons commencé avec notre programme de perfectionnement professionnel.

 

Si vous ne deviez choisir qu’un seul projet à accomplir d’ici la fin de votre mandat de présidente, lequel serait-ce ?

J’aimerais que l’on revienne à des congrès vitaux et dynamiques qui nous permettent de nouer des liens et partager des informations de pointe sur les choses passionnantes qui se passent au Canada dans notre secteur d’activité. Au moment de réaliser cette entrevue, le congrès d’Edmonton semble très bien aller. Nous avons rassemblé une gamme complète de présentations intéressantes qui illustrent tout le travail que nous avons accompli en ce qui concerne la création de liens et l’intégration des utilisateurs industriels. Elles soulignent aussi le travail effectué au Canada sur une grande variété de travaux émergents sur tout le spectre du rayonnement : du développement au déclassement. J’ai vraiment très hâte au congrès d’Hamilton, puisque les mises à jour que nous avons reçues sont très prometteuses.

 

Où aimeriez-vous voir l’association dans cinq ans ?

J’aimerais que l’association compte plus de membres de diverses industries, ce qui reflète le thème du congrès de cette année.

 

Avez-vous autre chose à dire à nos lectrices et lecteurs, qu’elles/ils soient membres ou non ?

J’ai juste hâte de retrouver tout le monde à Edmonton
cette année !

 

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Entrevue avec Jeff Fleming, président désigné de l’ACRP, mai 2023

Entrevue avec une nouvelle membre du conseil d’administration : Rencontrez Tara Hargreaves, octobre 2022.

Entrevue avec Leah Shuparski-Miller, présidente désignée de l’ACRP, juillet 2022.

Entrevue avec Diana Moscu, nouvelle présidente de l’ACRP, août 2021.

Entrevue avec Ali Shoushtarian, président désigné de l’ACRP, juin 2020.

Entrevue avec Karen Owen-Whitred, la nouvelle directrice générale de la Direction de la réglementation des substances nucléaires (DRSN) à la Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN), décembre 2020.

Faire du réseautage avec succès pendant un congrès – Plus qu’un conte de fées. Dave s’entretient avec Liane Koll, récemment diplômée du programme de radioprotection du Loyalist College, ainsi qu’avec Valerie Phelan qui a engagé Liane après l’avoir rencontrée au congrès de l’ACRP en 2019, janvier 2020.