Chaque année, trois finalistes sont sélectionnés dans le cadre du Concours de communications étudiantes Anthony J. MacKay pour présenter leur travail au congrès de l’ACRP. Les présentations sont jugées et le lauréat ou la lauréate reçoit un trophée et 250 $. Dans ce numéro du Bulletin, Alicia passe en entrevue les finalistes de cette année.
Dans son message inaugural, la rédactrice en chef Tanya Vlaskalin se présente aux lecteurs du Bulletin, remercie Dave Niven, le rédacteur en chef sortant, pour le travail incroyable qu’il a fait ces sept dernières années et présente le thème pour cette édition consacrée au congrès annuel : « Créer des liens ».
Corie Houldsworth, la présidente de l’ACRP, jette un regard sur le passé de l’ACRP et l’histoire de la radioprotection au Canada et au-delà. Elle a aussi hâte de voir ce que l’avenir nous réserve. Elle parle de la façon dont cela est lié au thème du congrès de cette année : Forger l’avenir.
Dans sa rubrique Coin du spécialiste de la radioprotection, Jeff vérifie l’activité estimée du minerai de monazite qui contient supposément 10 MBq de Th 232. Si la constante gamma de l’équivalent de dose ambiant pour le Th 232 est pratiquement zéro, pourquoi la mesure à 10 cm est-elle plus de 1 000 fois plus élevée que ce à quoi l’on pourrait s’attendre?
Scott Nichelson, du Texas, est membre de l’ACRP autoproclamé comme étant localisé le plus au sud. Il est aussi membre de la Health Physics Society (HPS) et fournit régulièrement des mises à jour sur les événements de la HPS qui pourraient intéresser les lecteurs du Bulletin de l’ACRP.
Chaque année, trois finalistes sont sélectionnés dans le cadre du Concours de communications étudiantes Anthony J. MacKay pour présenter leur travail lors de la conférence de l’ACRP. Les participants doivent soumettre un résumé de 750 mots maximum sur un sujet relié à un aspect du rayonnement . Voici les résumés soumis par les finalistes de cette année.
Le congrès 2026 de l’Association canadienne de radioprotection se tiendra en partenariat avec l’Association canadienne des scientifiques et technologues du radon à Saskatoon. Les deux associations ont des objectifs communs et le fait de tenir ce congrès en collaboration leur permettra de couvrir une plus grande variété de sujets.
Depuis plus de 50 ans, TRIUMF, le centre national d’accélération des particules du Canada, repousse les limites de la recherche et de l’innovation en matière de physique subatomique. Le programme de radioprotection de TRIUMF a évolué avec l’élargissement de son champ de recherche. D’abord axées sur la protection des travailleurs contre le rayonnement cyclotron, les mesures de sécurité visent maintenant divers types de rayonnements de divers accélérateurs et expériences.
L’automne dernier, l’Institut de radioprotection du Canada a invité Jill Robertson, Ali Shoushtarian, Jillian Woods et Pam Warkentin pour discuter de leur expérience avec les mesures de radon en milieu de travail dans le cadre d’un webinaire. Nous partageons avec les lecteurs du Bulletin une partie de cette discussion.
Voici le premier d’une série d’articles qui exploreront certains des chercheurs et des développements qui ouvrent la voie au domaine de la radioprotection que nous connaissons aujourd’hui. Nous commençons avec Harriet Brooks, la première physicienne nucléaire au Canada.
La dernière réunion du Comité de radioprotection fédéral-provincial-territorial a eu lieu en octobre 2024. Apprenez-en plus sur les sujets abordés et les présentations de membres fédéraux.
Un nouveau groupe appelé Ontario Universities Radiation Safety Officers (OURSO) a été formé par les RRP qui ont reconnu faire face à des défis semblables et qu’ils gagneraient à mettre en commun leurs connaissances et leur expérience. Leur mandat est de réduire le risque qu’il y ait des recherches universitaires comportant des rayonnements et pour engager le dialogue avec des organismes de réglementation.
