Auteur : Grant Cubbon, Vice-rédacteur en chef
Grant écrivait son message de la rédaction avant le congrès 2024. Il a félicité le comité organisateur d’avoir conçu un formidable programme, a encouragé les lectrices et les lecteurs à assister aux excellentes présentations, à l’AGA, au banquet des prix, et à (bien sûr) se présenter à la suite de réception! Il a aussi encouragé les lecteurs et lectrices à faire connaissance avec des collègues de partout au pays (et d’ailleurs) pour apprendre des réussites et des défis de gens de diverses disciplines au sein de la radioprotection.
Grant Cubbon pose des questions à Brian Bewer, spécialiste en radioprotection au Centre canadien de rayonnement synchrotron, sur son emploi et sur la raison pour laquelle il veut porter le titre (A)ACRP. Brian parle des connaissances qu’il a acquises et des avantages de faire partie d’une communauté de spécialistes de la radioprotection d’expérience.
Grant Cubbon réalise une entrevue avec Darin Street, responsable de la radioprotection et du contrôle des rayonnements pour le Centre canadien de rayonnement synchrotron, et le questionne sur ses débuts dans l’industrie, son expérience avec l’obtention de la désignation (A)ACRP et la façon dont les relations professionnelles et les connaissances qu’il a acquises ont profité à sa carrière.
Grant a dû manquer le dernier congrès de l’ACRP à Halifax puisqu’il a participé au congrès RadSynch23, un congrès qui se tient tous les deux ans pour le personnel de la radioprotection des installations synchrotron du monde entier. C’est une occasion pour les spécialistes en RP des synchrotrons de se réunir, de discuter des mises à niveau, de faire connaître leurs réussites et les possibilités d’amélioration et de se tourner vers l’avenir pour voir où la science mènera la prochaine génération d’installations. Selon Grant, la recherche et les expériences partagées au congrès, qu’il résume dans cet éditorial, ainsi que la possibilité de rencontrer et de renouer avec des collègues de la radioprotection des synchrotrons, rendent la participation à ce congrès inestimable. Il est content d’y avoir participé, mais il a très hâte au congrès ACRP 2024 à Edmonton.
Dans cet éditorial, Grant se penche sur le récent congrès de l’ICRP 2021+1 qui s’est tenu à Vancouver. Après deux ans de congrès en ligne limités, il a trouvé que cet événement en personne en valait la peine. Il décrit les séances et certains des thèmes clés. Par exemple, il dit que plusieurs portaient sur la meilleure façon d’expliquer au public les risques des rayonnements ionisants pour la santé. Le congrès s’est terminé avec une table ronde sur les prochaines étapes pour perfectionner le système de radioprotection.
Dans cet éditorial, Grant Cubbon, le vice-rédacteur en chef, se penche sur son rôle en tant que membre du conseil d’administration de l’ACRP. Après trois mandats au sein du conseil, il a choisi de ne pas se présenter à l’élection de cette année, affirmant que : « il est temps de laisser la place à un des jeunes professionnels parmi nos membres pour occuper un rôle de leadership dans l’association ». Il se penche aussi sur la contribution de plusieurs experts, au sein de l’ACRP et à l’extérieur, qui ont donné de leur temps pour fournir d’excellents articles au Bulletin.
Après avoir profité du congé des Fêtes et avoir passé du temps en famille, Grant pense à ses plans pour la nouvelle année. Les plans sont faits, mais au milieu de l’incertitude causée par la COVID, la mise en œuvre n’est pas très claire. Peut-être est-ce pour cette raison qu’il a décidé que le changement serait le thème de la première édition du Bulletin pour l’année 2022.
Le Centre canadien de rayonnement Synchroton (CCRS) a connu une éclosion de COVID-19 (selon les termes du gouvernement de la Saskatchewan, pour qui il y a éclosion à partir de deux cas dans un même lieu de travail) malgré la planification rigoureuse de protocoles en cas de pandémie et la mise en place de ceux-ci dès le début de la pandémie.