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Chaque année, le comité des étudiants et des jeunes professionnels de l’ACRP organise le concours de communications étudiantes Anthony J. MacKay. La ou le lauréat reçoit le trophée Anthony J. MacKay, un prix de 250 $ en espèces et son article est publié dans le Bulletin de l’ACRP. L’année dernière, c’est Felix Mathew qui a remporté le concours. Felix a présenté son article intitulé « Single-Cell DNA Sequencing – A Potential Dosimetric Tool » à l’ICRP 2021+1.

Parmi les séances techniques et scientifiques d’importance au récent congrès ICRP 2021+1 à Vancouver, il y avait une séance qui avait pour objectif stratégique de faire croître le domaine de la radioprotection. Plus précisément, la séance explorait comment nous pouvons faire participer davantage les jeunes à la radioprotection. Avec son coprésident, Mike Boyd, de la United States Environmental Protection Agency, Omar a entrepris d’inviter de jeunes professionnels du monde entier ayant de l’expérience dans différents organismes et sous-domaines, qui pourraient mettre de l’avant leurs idées. Dans cet article, Omar présente les points importants à retenir de la séance selon lui.

Les modifications apportées au Règlement sur la radioprotection de la Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN) ont été publiées en novembre 2020. Après leur publication, la CCSN a adopté une approche de promotion de la conformité avec des titulaires de permis pour leur donner le temps de mettre à jour leurs programmes de radioprotection. Cette période est maintenant terminée et tous les titulaires de permis doivent maintenant répondre aux nouvelles exigences.

L’édition de juillet 2022 du bulletin d’information créé par la Direction de la réglementation des substances nucléaires (DRSN) a souligné certaines zones où les inspecteurs de la CCSN constatent qu’il y a encore de la non-conformité des nouveaux règlements. Nous avons pensé que le Bulletin était une bonne occasion de rappeler aux lecteurs les changements au règlement.

Les récentes modifications au Règlement sur la radioprotection de la Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN) visaient à améliorer la radioprotection des travailleurs, du public et de l’environnement en se basant sur les normes internationales en matière de radioprotection et l’expérience opérationnelle en matière de réglementation de la CCSN. Dans cet article de Jessica Milligan-Taylor de la CCSN, chargée de projet pour la Division des installations de catégorie II et des accélérateurs, souligne tous les changements et attire l’attention sur certains changements d’intérêt particulier.

L’année dernière, Erin Curry, la directrice régionale de l’Association canadienne des scientifiques et des technologues en radon (ACSTR), a examiné la contribution de diverses concentrations de radon à l’intérieur à la dose annuelle efficace dans une série de deux articles du Bulletin. Dans une nouvelle série qui commence dans cette édition, elle tourne son attention vers le radon en milieu de travail. Selon elle, même si nous savons que l’exposition à des concentrations élevées de radon est liée à un risque accru de cancer des poumons, pour les professionnels de la radioprotection, l’exposition au radon au travail pourrait bien être un cas de cordonnier mal chaussé.

Le Comité scientifique des Nations Unies pour l’étude des effets des rayonnements ionisants (UNSCEAR) est l’autorité mondiale en science des rayonnements et l’estimation des niveaux mondiaux et des effets des rayonnements ionisants sert de base scientifique permettant d’évaluer les risques d’irradiation et d’établir des mesures de sûreté. Pour la première fois depuis la pandémie, leur session annuelle s’est tenue en personne à Vienne, en Autriche du 9 au 13 mai 2022. Lors de la session, l’UNSCEAR a élu un nouveau bureau, approuvé une nouvelle stratégie pour la collecte, l’analyse et la diffusion des données et a demandé aux États membres de participer à l’évaluation de l’exposition du public aux rayonnements ionisants.