Le congrès international de l’IRPA est un fleuron bien connu du programme de l’IRPA. Il donne aux professionnels de la radioprotection l’occasion de se rencontrer, d’échanger sur leurs expériences et de partager de bonnes pratiques.
Le 34e symposium et salon international sur le radon de l’AARST s’est tenu du 9 au 13 novembre 2020 et était entièrement virtuel.
En réaction à la pandémie mondiale, le monde entier a dû revoir sa façon de travailler, et le Comité scientifique des Nations Unies pour l’étude des effets des rayonnements ionisants (UNSCEAR) n’y a pas échappé.
Dans cet article, nous explorons le processus de la communication et le rôle que vous y jouez à titre de rédacteur.
Le radon est la principale cause de cancer du poumon chez les non-fumeurs et on estime qu’il est à l’origine du décès de plus de 3 000 Canadiens tous les ans.
Selon la Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN), le rayonnement du radon inhalé par le Canadien moyen constitue environ la moitié de la dose efficace annuelle provenant du rayonnement ambiant naturel.
Dans ce numéro, Dave continue sa série d’entrevues en s’entretenant avec Karen Owen-Whitred, la nouvelle directrice régionale de la Direction de la réglementation des substances nucléaires (DRSN) à la Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN).
Dans son Message du président de novembre 2019, Ed Waller écrivait que bien que les professionnels de la radioprotection « saisiss(ent) les aspects techniques de l’exposition aux rayonnements, les statistiques et les incertitudes, [souvent, ils n’arrivent] pas à traduire ces importants concepts techniques en des explications compréhensibles (et précises) pour les experts non techniques ».
